Architecte de formation, j’ai exercé ce métier pendant plus de quinze ans au sein de mon propre cabinet. L’architecture, pour moi, n’a jamais été seulement une profession : c’est un regard, une manière d’habiter le monde, de le lire, de le transformer.
AwA est né de cette manière d’être : chaque couture, chaque courbe, chaque volume est pensé avec la rigueur et la poésie de l’architecture.
L’art de la seconde vie.
Nous utilisons des stocks morts – ces matières précieuses, oubliées, mises de côté – pour leur offrir une nouvelle vie. Comme un bâtiment que l’on restaure, comme un souvenir que l’on ravive, nos créations racontent des histoires à travers la matière.
Entre influences et inspirations.
Mon travail puise dans l’architecture vernaculaire, la géométrie sensible des œuvres de Najib Belkhodja, et la poésie des détails silencieux.
Ce que je cherche à transmettre, ce n’est pas seulement une forme : c’est une émotion, une texture, une mémoire vivante.
Un style intemporel.
Je suis cette femme aux cheveux argentés, au rouge à lèvres affirmé, qui regarde le monde avec une curiosité tendre et lucide. AwA est mon atelier intérieur – et je vous y invite.
Philosophie de la création
Chez AwA, le passé n’est jamais figé : il inspire, il chuchote, il renaît autrement.
Nos sacs sont des morceaux de ville à porter : une façade détournée, une poignée pensée comme un arc, une couture comme un trait de crayon.
Nos bijoux racontent des souvenirs en miniature : une fenêtre ancienne, une lumière d’été, un détail oublié.
AwA est destiné aux femmes qui n’ont pas besoin d’en faire trop pour être inoubliables.
L’élégance est dans la matière, dans le silence, dans le détail qui dit tout.